Karma Detchen

Activité de Joie Transcendante qui permet de percevoir et d'utiliser la SEP (Sclérose En Plaques) comme Support d’Entraînement Parfait pour réaliser ou raviver la Sagesse Eveillée Primordiale. Le but (Éveil) est le chemin (ici la SEP). Chacun selon sa propre condition à transcender (en Vue, Méditation et Action).

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samedi 8 janvier 2022

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vendredi 7 janvier 2022

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jeudi 6 janvier 2022

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(film en préparation) En date: du 28 Août 2012 sur interobjectif.net, un commentaire sur « Réalité matérielle physique chérie (film en prép...

LA SCLÉROSE EN PLAQUES (SEP)

C'est une démyélinisation de foyers d'axones du Système Nerveux Central (Médullaire et cérébral) caractérisée par une inflammation de celui-ci.

Les effets ou symptômes qui en résultent handicapent la personne qui la porte, surtout lors de poussées ou crises d'émergence de nouveaux symptômes qui disparaissent ou se calment et se stabilisent à la fin de celle-ci.

Ceci est le fait d'une interprétation erronée par le cerveau des messages d'alertes signifiant une nouvelle démyélinisation, due à une inflammation, des axones démyélinisés qui cependant fonctionnent correctement, et se répercutant donc sur le Système Nerveux Périphérique (d'où sensations, altération des sens, paresthésies et paralysies) , jusqu'à ce que le cerveau ait intégré cette information comme constitutive et non plus comme un problème.

Voilà la description que je peux en faire à ce jour.

D'un point de vue Yogique, je dirais que ce phénomène allergique est un support qui nous ramène à la Terre et mobilise ou réclame l'Eau, pour prendre la dimension complète de l'Espace, assainir l'Air, stabiliser et canaliser le Feu, afin que le canal central puisse libérer La Sagesse Eveillée Primordiale, l'Essence de l'Esprit d'Eveil Equanime d'Amour, Compassion et Joie illimités.

Un peu de jargon SEP : Sclérose En Plaques (d'où mes jeux de mots pour l'apprivoiser)
Terme peu exact en fait, mais qui date (de Charcot) alors difficile d'en changer, il s'agit plutôt d'une maladie auto-immune du système nerveux central endommagé (Charcot n'avait pas d'IRM pour être plus précis de son temps alors on l'excuse).

En parlant de jargon on dit entre nous qu'on est "sepien" et non pas "septique".

Voici cette brève déjà écrite et qui doit être maintenant sur le site réconfortsep :

Elle explique les phénomènes positifs qui surviennent après une poussée et qui ne sont pas en rapport avec un trouble déficitaire et qui ne sont pas sensibles au traitement.
Ils ne disparaissent que lorsque le cerveau ne les retient plus comme des phénomènes d'alerte.

Les symptômes positifs :

Les patients ressentent souvent des impressions de fourmillements et des paresthésies parfois pendant des semaines. Ces sensations anormales peuvent être induites par le mouvement et la stimulation. Ces phénomènes sont la conséquence d’une hyperexcitabilité acquise des axones qui vont ainsi créer des influx spontanés prenant naissance dans des zones démyélinisées et partant dans les deux sens de l’axone. Ces phénomènes électriques arrivant au cerveau sont ressentis comme des fourmillements. Un axone démyélinisé voit sa perméabilité perturbée en particulier il existe une perturbation des canaux ioniques (zone de passage des ions à travers la membrane et assurant la polarisation des cellules). Ces phénomènes ne sont ni positifs ni négatifs du point de vue du fonctionnement de l’Axone.

Car en fait il existe deux systèmes nerveux :

Le premier est le système nerveux périphérique , ce sont les nerfs périphériques, ils ne sont pas touchés dans la SEP.

Le deuxième est le système nerveux central, il associe le cerveau et la moelle épinière. Les plaques peuvent toucher le cerveau et la moelle, il n'y a pas de lésions en miroir mais des lésions dispersées.

Lorsqu'il y a eu des atteintes du système nerveux, il peut exister des troubles moteurs et sensitifs subjectifs qui vont le plus souvent disparaître ou s'atténuer avec le traitement des poussées.

Par la suite, il peut persister les troubles sensitifs subjectifs, ceux dont nous avons parlé, qui ne sont pas des signes inflammatoires, non sensibles à la cortisone et qui peuvent persister longtemps sans gravité clinique mais avec une gêne importante qui chez les patients anxieux est difficile à gérer.

La brève ci-dessus explique donc le mécanisme de ce type de trouble.

Il y a de deux types de SEP avec ces mêmes effets : actives (soit précauces et handicapantes même hors poussées) et quiescentes (soit plus tardive et handicapante pendant les poussées seulement, a priori).

Car les formes RR (Récurentes-Rémittentes) sont les formes à poussée, donc quiescentes entre les poussées, les formes SP (Secondairement Progressives) sont progressives après une période à poussée et les formes PP (Primaires progressives) sont d'emblée progressives.

C'est dans les formes RR que le traitement est le plus important pour diminuer au maximum le risque de poussée.

Tous ces éléments sont sur le site de réconfortsep. Lisez le et n'hésitez pas à poser des questions aux neurologues, qui le gèrent, sur ce qui ne parait pas clair.

La forme clinique se définit selon le profil d'évolution et non pas avec les examens complémentaires. Rien d'empirique.

Petit point basé sur l' expérience vécue :

Pour l'instant, je ne peux pas en dire plus, car c'est ma première poussée et mon premier traitement, alors qu'il a longtemps que j'ai ce type de troubles non persistants qui n'avaient jamais alerté personne.

Ce que j'ai compris, c'est que du fait que c'était persistant (plus de 2 mois sans aucun traitement ni antalgique adéquat, c-à-d sans antalgique neurologique, donc à souffrir ou à dissoudre toute perception dans la Vue) c'était un signe de poussée et de SEP, d'où l'IRM, puis Ponction Lombaire et traitement corticoïde à effet prolongé sur deux mois, avant prochain contrôle IRM. Delà nouveau traitement corticoïde pour éradiquer tout symptôme objectif restant.
Les symptômes subjectifs devenant habituels et supportables à la longue, avec toutefois un antalgique neurologique réaménagé et réaménageable sur avis du neurologue sans dépasser la dose journalière, et pour s'en sevrer il faut le faire progressivement à la fin de la poussée seulement car les douleurs déclenchent les poussées.

On peut donc commencer un traitement de fond anti-récidive avant la fin de la poussée : interféron (3 types proposés) ou l’acétate de glabetimere (1 type proposé) comme traitement de fond.

Car sans traitement de fond on laisse libre cours à la SEP qui continue sa progression (parfois à notre issue si les symptômes ne sont pas visibles ni nouveaux au quotidien mais apparaissant seulement à l'IRM ou dans le LCR).

Les différents types de douleur associés à la SeP

La plupart des personnes qui sont atteintes de sclérose en plaques (SeP) peuvent ressentir de la douleur à un moment ou à un autre de leur vie.

La douleur associée à la SeP peut se manifester de diverses façons : elle peut prendre la forme d’une douleur musculaire ou d’une douleur neuropathique fulgurante. Les causes de la douleur associée à la SeP sont elles aussi très variées. On peut cependant les classer grossièrement en trois catégories :

1) La douleur neuropathique, qui est attribuable aux lésions des systèmes nerveux central et périphérique provoquées directement par la SP;
2) La douleur associée aux autres manifestations de la SeP;
3) a douleur attribuable au fait de vivre avec une maladie chronique et/ou une incapacité.

1) La douleur neuropathique

On croit que la SP est une maladie auto-immune dans laquelle la réponse immunitaire se traduit par une inflammation et des lésions des fibres du système nerveux central (cerveau, moelle épinière et nerf optique).

Les effets de la SeP sur le système nerveux peuvent être à l’origine de plusieurs syndromes douloureux

Les douleurs neuropathiques (appelées dysesthésies), telles que les sensations de décharge électrique ou de brûlures ou les picotements : elles sont provoquées par les lésions des nerfs des systèmes nerveux central et périphérique. Les dysesthésies peuvent être aiguës ou chroniques. On pense que les dysesthésies chroniques sont attribuables aux lésions des fibres nerveuses situées dans le cerveau et la moelle épinière. En général, elles se manifestent par des sensations de brûlures ou par une douleur persistante ou pulsatile et sont ressenties dans les jambes et dans les pieds, et parfois même dans la poitrine ou l’abdomen. Lorsque la sensation correspond à un serrement à la poitrine ou dans l’abdomen, on parle de l’étau de la SP (MS hug en anglais). Les dysesthésies représentent le type de syndrome douloureux associé à la SeP le plus courant.

La douleur radiculaire : il s’agit d’une douleur aiguë qui siège sur le trajet d’un nerf. Elle est la conséquence de l’inflammation de la racine de ce nerf, qui émerge de la moelle épinière, et des lésions qu’elle subit. Par exemple, c’est l’inflammation d’une racine lombaire (L5) qui est à l’origine de la sciatique, laquelle est caractérisée par une douleur siégeant au bas du dos et irradiant jusque dans les fesses, les jambes et les pieds.

La douleur associée à une névrite optique : l’inflammation du nerf optique est l’une des principales caractéristiques de la SeP et généralement l’un des premiers symptômes perçus par les personnes atteintes de cette maladie. Ainsi, 92 % des sujets de l’essai Optic Neuritis Treatment Trial ont dit avoir ressenti une douleur oculaire pendant les poussées de SeP (Anon. Arch Ophthalmol 1991;109:1673-1678).

La névralgie crânienne: les nerfs crâniens émergent du cerveau (et non de la moelle épinière) et peuvent entraîner des syndromes douloureux lorsqu’ils sont endommagés par la SeP. C’est ainsi qu’une lésion du cinquième nerf crânien entraîne une névralgie du trijumeau (état pathologique que l’on appelle également tic douloureux ou tic de Trousseau), qui se caractérise par une douleur au visage soudaine, intense, en coup de poignard ou à type de brûlure. La douleur est généralement unilatérale (autrement dit, elle est ressentie sur un côté du visage), mais chez les personnes atteintes de SeP, elle est parfois bilatérale (les deux côtés du visage sont douloureux). Environ 1 à 5 % des personnes souffrant de SeP présentent une névralgie du trijumeau (Nurmikko et coll. Br J. Anaesth2001;87:117–132). Les lésions du neuvième nerf crânien peuvent provoquer une névralgie glossopharyngienne, syndrome rare qui est associé à une douleur soudaine et insoutenable à la gorge, aux amygdales et à la base de la langue (Minagar et coll. Neurology 2000;54:1368-1370). La douleur peut durer quelques secondes, voire plusieurs minutes. En général, elle est déclenchée par la déglutition, les boissons froides, la toux ou le fait de s’éclaircir la voix.

Le signe ou syndrôme de Lhermitte : habituellement, il est provoqué par des lésions de la région cervicale de la moelle épinière. Une douleur à sensation de décharge électrique se fait sentir soudainement lorsque la personne baisse la tête. Précisons qu’une personne atteinte de SeP sur quatre présente le signe de Lhermitte.

2) La douleur associée aux autres manifestations de la SeP

La SeP se manifeste par une grande variété de symptômes, et nombre d’entre eux peuvent être associés à de la douleur. Parmi les types de douleur les plus courants, mentionnons :

La douleur associée aux spasmes ou aux crampes musculaires : les spasmes musculaires s’accompagnent parfois d’une douleur aiguë, qui peut être sourde ou semblable aux dysesthésies mentionnées dans la section précédente. Les spasmes musculaires qui surviennent dans des régions précises de l’organisme (p. ex., la vessie) peuvent également être douloureux.

La douleur associée à la spasticité : on parle de spasticité lorsque les muscles demeurent contractés, ce qui peut entraver la marche ou d’autres mouvements. En cas de contractions musculaires incontrôlables, les symptômes ressentis vont de la rigidité musculaire à la douleur intense.

Certaines personnes atteintes de SeP éprouveront des syndromes douloureux consécutifs à leur incapacité à un moment ou à un autre; les plus fréquents d’entre eux étant les dorsalgies (maux de dos), qui surviennent notamment chez les personnes qui sont en fauteuil roulant. Le fait que les personnes qui ont du mal à se déplacer modifient leur démarche pour compenser la faiblesse de certains muscles peut provoquer des douleurs dorsales ou articulaires. En outre, la colonne vertébrale peut subir des sollicitations mécaniques additionnelles en cas de spasmes musculaires répétés, ce qui peut contribuer à une dégénérescence discale.

Par ailleurs, certaines personnes atteintes de SeP souffrent de céphalées et de migraines. Cela dit, la question de savoir si ces maux de tête surviennent plus souvent chez les personnes souffrant de SP que dans la population générale est sujette à controverse. Soulignons que les céphalées peuvent survenir par suite de l’administration d’interféron bêta ou compter parmi les symptômes du syndrome pseudogrippal associés à la prise de ce type d’agents (La Mantia et coll. Mult Scler 2006;12:476-80). On a constaté également que la fréquence des migraines était légères.

Source de cet article : https://www.msanswers.ca/ContentPage.aspx?L=3&page=pain2

Avis de non-responsabilité :

Veuillez prendre note que les renseignements fournis sur le présent site ne reflètent pas nécessairement l’opinion des autorités nationales et ne se veulent pas des recommandations médicales.
Il ne s'agit là que de mes propres recherches sur internet, pour comprendre ce que présente ce corps illusoire qui est le mien.

Pour tout conseil ou avis particulier, consultez toujours votre médecin. J'en fais de même car chaque cas de SeP est particulier : autant de SeP que de Sépien(ne)s.

Comme autant de chemins qui mènent à l'Eveil que d'êtres sensibles (avec ou sans SEP).

Pour en savoir plus de façon générale sur la SEP voici la page d'une amie concernée : http://le-truc-en-plus.over-blog.com/categorie-10359816.html

Et le site web tenu par des neurologues qui nous répondent via le forum "vos questions" il s'agit de réconfortsep que j'ai cité plus haut et que je n'ai pas terminé d'explorer : http://www.reconfortsep.com/accueil.htm l

Un artcle plus récent publié par l'ARSEP et relayé par l'APF (Ecoute-SEP) permet de mieux comprendre ce qui provoque et comment peut évoluer la SEP chez l'enfant et l'Adolescent (sa lecture me fait reconnaître que j'ai une SEP rémittente, très rémitente depuis 2,5 ans, avec des petites poussées, au vu de cet article, vers 15, 24, 27, 35 puis 44 et 45 ans, présentant un ou deux symptômes non permanents mais je n'ai jamais fait d'IRM avant 46 ans lors d'une 3ème poussée importante plus pleinement caractérisée qui a donné des signes d'atteinte neurologique plus visibles) cet article est reproduit ici :

SEP chez l'enfant et l'adolescent.

AVERTISSEMENT :

Les informations fournies dans ce blog ne sont données qu'à titre indicatif, elles ne reflètent pas nécessairement l'opinion de l'auteur et ne se veulent pas des recommandations médicales.
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