Je me suis permise, il y a quelques semaines, de la part d'Henri Montfort qui m'a indiqué une
expérience pranique pratique face à la Sclérose en plaques, d'indiquer
le site web de Willy Barral dans ce blog car j'adhère assez à cette vue
de la psychothérapie. Même si je trouve qu'elle est assez limitée à cette psychée et cette vie.
N'étant pas clinicienne, mais ayant seulement étudié la Psychologie jusqu'en licence de psycho-cognitive et sciences du langage, plus intéressée par l'ergonomie cognitive, diplôme avorté, pour aller vers les Abidharmas, estimant qu'il est préférable pour les êtres sensibles de se traiter soi-même avant de pouvoir prétendre les guider, les traiter ou les aider, je n'en ai donc jamais fait profession, ni usage professionnel (hormis via mes activités étudiantes de monitrice animatrice-éducatrice, avec de grandes précautions), mais suis toujours actuellement, en retraite chez-soi et en intégration de ce savoir être au quotidien, familial et, professionnel urbain municipal où je fonctionnais territorialement jusqu'à ce qu'une Sclérose en Plaques soit identifiée fin 2011 (m'immobilisant depuis fin août début septembre). Donc, que cela ne dure pas plus que ce temps thérapeutique accordé !!!
Cet expérience est assez intéressante, du point de vue bouddhique, douloureux par moments qui passent toujours mais bon c'est ainsi à ces instants là, où j'observe et intègre que tout s'élève de la base primordiale pour le bien universel et nous n'avons plus qu'à en jouir.
Ainsi, je fais de cette particularité neurologique une alliée familière, partie intégrale de cette aventure, l'accueillant comme en méditation nous observons pensées et émotions destructrices, connaissant leur nature primordiale illusoire. Telle un simple leurre du cerveau et du Système Nerveux Central qui interprètent mal le langage des neurones démyélinisés qui fonctionnent très bien malgré leur coup de froid, une fois déshabillés, par ces temps dégénérés au climat perturbé.
N'étant pas clinicienne, mais ayant seulement étudié la Psychologie jusqu'en licence de psycho-cognitive et sciences du langage, plus intéressée par l'ergonomie cognitive, diplôme avorté, pour aller vers les Abidharmas, estimant qu'il est préférable pour les êtres sensibles de se traiter soi-même avant de pouvoir prétendre les guider, les traiter ou les aider, je n'en ai donc jamais fait profession, ni usage professionnel (hormis via mes activités étudiantes de monitrice animatrice-éducatrice, avec de grandes précautions), mais suis toujours actuellement, en retraite chez-soi et en intégration de ce savoir être au quotidien, familial et, professionnel urbain municipal où je fonctionnais territorialement jusqu'à ce qu'une Sclérose en Plaques soit identifiée fin 2011 (m'immobilisant depuis fin août début septembre). Donc, que cela ne dure pas plus que ce temps thérapeutique accordé !!!
Cet expérience est assez intéressante, du point de vue bouddhique, douloureux par moments qui passent toujours mais bon c'est ainsi à ces instants là, où j'observe et intègre que tout s'élève de la base primordiale pour le bien universel et nous n'avons plus qu'à en jouir.
Ainsi, je fais de cette particularité neurologique une alliée familière, partie intégrale de cette aventure, l'accueillant comme en méditation nous observons pensées et émotions destructrices, connaissant leur nature primordiale illusoire. Telle un simple leurre du cerveau et du Système Nerveux Central qui interprètent mal le langage des neurones démyélinisés qui fonctionnent très bien malgré leur coup de froid, une fois déshabillés, par ces temps dégénérés au climat perturbé.
Petit message à mon cerveau : il s'agit de réaliser Rigpa nu dans le retournement de la pleine conscience, pas les axones nus mon petit coco !!! je suis bien décidée voyant l'effet que ça fait de tout tester et tenter pour les re-myéliniser ! que tu t'immunises ou pas contre cela ! qu'une chose soit claire : c'est mon esprit sain qui commande pas le cerveau et ses axones quelle que soit sa condition !
L'aventure de la Nourriture Pranique me tente (elle ne se fera que si c'est totalement naturel dans mon expérience, attention ne tentez pas cela si c'est un souhait névrotique par simple intérêt économique ou pour s'éviter vaisselle et courses) car je vois les bienfaits des jeûnes en matière méditative et surtout en matière de purifications karmiques et delà d'accumulation de mérite et sagesse. Je n'ai jamais souffert de privation chaque fois que je n'ai pu me nourrir non plus, car mon réflexe était d'en faire un support spirituel (lam khyer, tout amener sur la voie) il en est de même depuis que j'ai connu des problèmes de santé (j'ai conscience que ce corps humain n'est qu'illusoire, fantastique mais fongible). Maintenant, avec la SEP et les médicaments, il en est de même, c'est une autre histoire, mais toujours une histoire, un conte de fée bien sûr, plus moderne et plus artificiel sous les bulos. Tout n'est que le fruit de notre karma.
Le Dzogchen d'un de mes maîtres est aussi chamanique et je me retrouve bien dans les propos d'Henri Monfort, bien qu'au départ ce ne soit pas ma culture qui est plutôt Lavoisienne et Jungienne par affinité (malgré une vieille histoire avec un certain Merlin), mais avec beaucoup d'ignorance en matière de psycho-clinique car m'étant lancée très jeune dans l'aventure psycho-thérapeutique, en tant que patiente voulant faire feu de traumas aïeux, je n'ai pas osé tout lire des moyens habiles de cette contrée (hormis les ouvrages obligatoires de bac math-philo, puis de DEUG et Licence évoqués plus haut) afin de ne pas contrer rebellement leur effets bénéfiques (et éviter tout effet contre-placébo connaissant intuitivement la complexité névrotique de cet esprit sauvage ordinaire). Et cela à tors, au vu de l’éducation approfondie et méticuleuse qui m'est donnée au cours de cette retraite bouddhique chez-soi longue durée, par mon précieux maître Sogyal Rinpoche et tous ceux qu'il invite à nous enseigner car, l'évitement, l'ignorance et le détournement de regard ne sont pas de mise dans les méthodes d'éducation et d'études bouddhiques, où le regard tourné vers l'intérieur reste ouvert (y compris en retraite solitaire apparemment loin et isolée, c'est à dire protégée).
L'aventure de la Nourriture Pranique me tente (elle ne se fera que si c'est totalement naturel dans mon expérience, attention ne tentez pas cela si c'est un souhait névrotique par simple intérêt économique ou pour s'éviter vaisselle et courses) car je vois les bienfaits des jeûnes en matière méditative et surtout en matière de purifications karmiques et delà d'accumulation de mérite et sagesse. Je n'ai jamais souffert de privation chaque fois que je n'ai pu me nourrir non plus, car mon réflexe était d'en faire un support spirituel (lam khyer, tout amener sur la voie) il en est de même depuis que j'ai connu des problèmes de santé (j'ai conscience que ce corps humain n'est qu'illusoire, fantastique mais fongible). Maintenant, avec la SEP et les médicaments, il en est de même, c'est une autre histoire, mais toujours une histoire, un conte de fée bien sûr, plus moderne et plus artificiel sous les bulos. Tout n'est que le fruit de notre karma.
Le Dzogchen d'un de mes maîtres est aussi chamanique et je me retrouve bien dans les propos d'Henri Monfort, bien qu'au départ ce ne soit pas ma culture qui est plutôt Lavoisienne et Jungienne par affinité (malgré une vieille histoire avec un certain Merlin), mais avec beaucoup d'ignorance en matière de psycho-clinique car m'étant lancée très jeune dans l'aventure psycho-thérapeutique, en tant que patiente voulant faire feu de traumas aïeux, je n'ai pas osé tout lire des moyens habiles de cette contrée (hormis les ouvrages obligatoires de bac math-philo, puis de DEUG et Licence évoqués plus haut) afin de ne pas contrer rebellement leur effets bénéfiques (et éviter tout effet contre-placébo connaissant intuitivement la complexité névrotique de cet esprit sauvage ordinaire). Et cela à tors, au vu de l’éducation approfondie et méticuleuse qui m'est donnée au cours de cette retraite bouddhique chez-soi longue durée, par mon précieux maître Sogyal Rinpoche et tous ceux qu'il invite à nous enseigner car, l'évitement, l'ignorance et le détournement de regard ne sont pas de mise dans les méthodes d'éducation et d'études bouddhiques, où le regard tourné vers l'intérieur reste ouvert (y compris en retraite solitaire apparemment loin et isolée, c'est à dire protégée).
Un forum
"Bouddhisme et Médecine" se tient chaque année en octobre dans notre grand
temple, où je n'ai pas encore mis les pieds depuis sa construction à
Lerab Ling (dont je ne connais que la vieille grange). Rinpoché verse
lui même s'intéresse pas mal à la psycho-cognitive pour expliquer aux occidentaux
comment peuvent fonctionner les bienfaits de la méditation (magie des
neurones miroirs, perception altérée par l'émotion, etc).
Un autre de
mes maîtres, de tradition Théravada, moine de la forêt, est aussi quasiment pranique
(peut-être pas tout le temps mais il ne mange jamais plus d'un repas
frugal par jour, jamais passé une certaine heure et jamais si on ne la
lui donne pas) j'ai un peu cette tendance aussi (surtout en retraite) et
surtout en ce moment aussi mais pas vraiment aussi régulièrement
qu'avant car ma neurologue insiste sur le fait qu'il faut alimenter les
neurones donc il ne faut pas me le dire deux fois (tel maître, tel disciple on veut bien faire un peu d'exercice pour garder la ligne, Rinpoché n'est pas moine, moi non plus même si cela m'aurait bien plu).
Aussi quand Henri Montfort me dit qu'on a déjà été "guéri de la SEP" par les soins et un mode vie Pranique de perception, émission, réception et absorption des éléments nutritifs de l’univers :
Aussi quand Henri Montfort me dit qu'on a déjà été "guéri de la SEP" par les soins et un mode vie Pranique de perception, émission, réception et absorption des éléments nutritifs de l’univers :
- qu'entent-il vraiment par là ?
- est-ce le cas
neurologiquement ?
(aucun symptôme subjectif et IRM et PL sains)
ou bien - est-ce simplement voir sentir appeler notre nature de santé
fondamentale ?
(aucun symptômes subjectifs mais symptômes objectifs)
autrement dit : - est-ce que les IRM ne montrent plus aucune lésion ?
- et les symptômes objectifs et subjectifs sont-ils tous partis ?
- reste-t-il des séquelles visibles ?
Cela m'intéresse car en fait, je ne me sens pas malade (même si je sens ce qui cloche et bien sûr je ne fonctionne pas surtout en ce moment de pleine poussée, comme si de rien n'était) et, à moins d'un déni, depuis le début, je considère ce phénomène comme une espèce d'hystérie (hypothèse démentie par ma neurologue qui la dit "bien présente, y a pas photo (IRM et PL à l'appui)" et rémittente, donc à traiter d'entrée de façon drastique). Bien que les médecins disent qu'on n'en guéri jamais, mais qu'on peut l'empêcher de nuire (d'où interférons ou copraxone), cette guérison ensuite ne dépend que de moi. Je veux dire de mon propre esprit fonctionnant en interaction avec ce qu'il l'entoure pour produire ou non ce phénomène de la SEP comme un langage sans plus, mais que je dois écouter, faire écouter et respecter. Phénomène qui serait socialement plus acceptable et cause de plus compassion que ma seule et simple intuition ou désir d'actions ou de non actions. Plus j'avance dans l'exploration intérieure et secrète plus je vois que cela va plus loin, c'est vraiment karmique, et cela n'est pas que l'héritage de cette vie présente.
Son action est de me permettre de voir ma santé fondamentale et celle du monde entier, comme ces jours difficiles au Tibet encore, pour ne parler que de cela.
Suite à un enseignement plus approfondi sur l'offrande de tous les univers, je comprends que JE n'ai pas créé cette SEP mais qu'elle est plutôt un cadeau d'éveil que j'ai seulement mérité, car je le vaut bien, grâce à mon endurance et ma patience, et nous le vallons tous bien car nous ne sommes pas séparés vous et moi. Je fais donc cette expérience pour vous.
J'ai un nouveau psy, car ma dernière en date n'était plus disponible. Et ce nouveau contexte m'a poussée (poussée oblige lol) à consulter plutôt un psychiatre psychothérapeute connaissant bien la SEP et membre du réseau régional SEP car tant qu'à y être puissè-je faire avancer la science et les méthodes thérapeutiques dans ce domaine. Même s'il n'est pas simple de proposer à mon Amchi La de rejoindre ce réseau et de s'y faire accepter sans avoir à tout dévoiler de ses moyens secrets. Quoique le Gilénia soit un dérivé de médecine chinoise ancestrale, alors tout est possible ! Car tout est bon.
Si on peut guérir
de la SEP via le Prana, je suis partante, en vue et après un sevrage de
ce que j'ingurgite actuellement à heure fixe avec effets secondaires
semblant pires que le mal.
Mais comme me dit ma neurologue : c'est très
bien de prendre ce recul mais prenez aussi ce traitement, maintenant et, il
faut choisir un interféron immuno- modulateur ou suppresseur. J'ai le choix et toutes les données pour me décider.
La guérison via le Prana ne peut pas y être incompatible :
- Comment le soin pranique se passe-t-il ?
- Serais-je une bonne candidate pour cette aventure ?
Il me semble que c'est déjà le cas sans extrémisme, selon ces expériences, car tout est Prana qu'on en soit conscient ou non. Et le solumedrol porte bien son nom de victoire de la lumière sur le corps (clin d’œil Wylie pour les tibétologues). Un traitement anti-récidive de poussées de SEP plus récemment diagnostiquée "remittente" m'est donc proposé et un choix de plusieurs interférons ou acétate est possible.
Cette vidéo sur l'expérience Pranique (respirienne acquarienne et les jeunes naturels ou spirituels) vous donnera une bonne idée de ce qu'il en est A voir et revoir d’urgence en version française !
Attention : Non le respirianisme n’est pas à pratiquer par tout le monde, ni évidemment la solution à la faim dans le monde ! (ce serait trop beau et déjà fait!)
Serait-il alors possible de vivre autrement ? Oui, pour quelques uns…
Un excellent sujet qui démontre que le monde scientifique actuel marche globalement à côté de ses pompes… et que de nouvelles perspectives s’offrent à la destinée humaine.
Si cette vidéo ne se joue s'affiche pas ou n'est pas complète (bande annonce du film ?) le film est fourni par : http://www.jupiter-films.com/ et sur ce site web : http://interobjectif.net/
Je vous invite à laisser vos messages en bas de page.
Cette vidéo sur l'expérience Pranique (respirienne acquarienne et les jeunes naturels ou spirituels) vous donnera une bonne idée de ce qu'il en est A voir et revoir d’urgence en version française !
Serait-il alors possible de vivre autrement ? Oui, pour quelques uns…
Un excellent sujet qui démontre que le monde scientifique actuel marche globalement à côté de ses pompes… et que de nouvelles perspectives s’offrent à la destinée humaine.
« Si cette enquête remet en question nos
conceptions et ouvre une porte sur une alternative, elle n’en reste pas
moins honnête, rigoureuse, et ne fait aucune propagande. » (Les Fiches du Cinéma)
Je vous invite à laisser vos messages en bas de page.
Merci pour votre patience, votre attention, vos travaux et vos partages.
Bonjour,
RépondreSupprimerNous ne connaîtrons pas les réponses à mes questions à Willy Barral, car il est décédé subitement avant la conférence où je devais le rencontrer le 7 avril dernier.
Sincères Condoléances à tous ceux et celles qui l'on connu et aimé.
Vous me voyez doublement attristée, un peu comme lorsque des maîtres auxquels j'étais liée sont partis avant que je ne puisse les rencontrer vivants (et ma liste est trop longue!).
Puisse Willy Barral être bien heureux sur la route qu'il lui reste à faire,
Car comme l'on dit dans ma tradition : une personne, connue ou inconnue, qui a fait du bien dans notre dimension impermanente, travaillant sans cesse pour assouplir et bonfier son esprit, ne peut pas ne pas faire des émules continuant ainsi à vivre, c'est ce que l'on entend en leur souhaitant longue vie.
Il nous apprend ainsi à nous ménager quelle que soit la tâche qui est face à nous et surtout si elle se présente importante pour nos capacités humaines, du corps de la parole et de l'esprit.
Il est aussi de coutume d'accompagner les défunts 49 jours suivant leur décé, aussi je ne manque pas à l'associer à cet accompagnement.
Toute vie est une leçon, toute vie est précieuse
il en est autant de sa continuité qu'est le grand voyage vers l'ultime vérité, qui n'a pas besoin d'une mort complète nous pouvons très bien faire cette expérience par la méditation où l'on meurt à toutes nos saisies pour renaître dans l'espace infini de la sagesse et de la compassion.
Puisse son expérience présente être très auspicieuse pour son propre éveil, celui de ses proches et tous ceux qu'il a croisé de près ou de loin dans la grande danse des illusions au sein des univers innombrables que créent nos esprits.
Sarva mangalam, Kenavo :)
Tendresses
Karam Detchen Lhamo